retour choraleST VARENT

Finaliser un spectacle, c'est comme régler un moteur, moment hyper délicat où on se demande s'il ne faudrait pas changer une pièce ou s'il n'y en a pas une de trop.

Parce qu'il faut que ça tourne in fine, et que ça tourne bien, à tous les sens du terme.

Pour la première résidence qu'elle organise, l'équipe du Festival de St Varent a mis les petits plats dans les grands et se montre d'une attention constante, ce qui nous aide bien.

C'est une résidence en milieu rural. ça les change des résidences secondaires et c'est l'occasion de bien belles rencontres mais le temps nous manque, vue la somme de travail que nous avons encore.

C'est une mise en scène collective. C'est dire que ça demande souvent de prendre sur soi pour ne pas se perdre en vains palabres. L'arrivée de Didier Bailly et de Ami Hattab nous apporte un certain nombre de réponses et nous permet de souffler un peu.

Deux répétitions publiques depuis que nous sommes arrivés. Un peu beaucoup mais ça booste. L'accueil est plutôt bon mais on a encore beaucoup de pain sur la planche..

Ceci dit, avec du chèvre, des rillettes et du Layon, c'est pas de refus....

Une répétition comme on les aime...