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La grande fresque historique de St Fulbert en Conchon

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En 852 de notre ère, le jeune Fulbert, doux garçon de jolie voix et de belle prestance, mais avec un grand poil dans la main, va découvrir les joies du martyr grâce à la bonne volonté de sa soeur et de sa marraine avec la participation active des ignobles Vazygos, barbares de leur état.

Comme certains héros, il y a aussi des saints malgré eux.

Photo PHILIPPE PRALIAUD Conseil general du Loiret

Photo PHILIPPE PRALIAUD Conseil general du Loiret

Ainsi fut-il » est le second opus de la Chorale de St Fulbert. Comme le précédent, c’est un hymne goguenard à la bonne volonté. Comme le précédent, il est essentiellement a capella et construit à base de chansons résolument originales … à tous les sens du terme . Mais ici, il s’agit de raconter une histoire et de magnifier un prétendu patrimoine.
Où l’on verra que ça ne va pas forcément de soi
La vie très véritable de Fulbert de Conchon, chanteur, vierge et martyr.

« Super ! » : vendredi soir, le public venant d’assister à l’opérette délirante de la Cie Acidu, a réservé une véritable ovation à la Chorale de St Fulbert. (…) Contant l’histoire de Fulbert, le fils du curé-forgeron Mathurin, la troupe a chanté, dansé, fait rêver, raillé, parodié, étonné avec une époustouflante énergie et des textes ciselés mélangeant références médiévales à l’actualité. Il a été question de précautions inutiles à prendre « car il n’y a pas de ministre », des « hommes lubriques et pervers… comme tous les hommes », de Mr Villepin, des Bleus, les comédiens ont chanté qu’il « est vraiment dur d’être femme ». Du Grégorien à Johnny en passant par le gospel, le remix de West Side Story, les polyphonies corses et le célèbre « il est vraiment (bis) phénoménal », les personnages ont mené la comédie à un train d’enfer, entraînant le public dans une folle danse « la tiguedugu ».

RP Sarreguemines 6 Août 2006 AUTRES ARTICLES

  • Co-production cie ACIDU, Festival Charivarue-Ville de Cherbourg-Octeville,
  • Avec le soutien et l’aide à la résidence du Centre Culturel de Saint Varent, du Moulin Fondu -lieu de fabrique pour les arts de la rue à Noisy le Sec, du Fourneau - Scène conventionnée Arts de la rue en Bretagne.
  • Avec l’aide de l’ADAMI, société civile pour l’administration des droits des artistes et musiciens interprètes.
  • Projet subventionné par la Ville de Paris

Avec toute l'équipe de la chorale de St Fulbert, texte et musique: Pierre Prévost, mise en scène: Renaud Donche, direction chant: Didier Bailly, costumes et décors: Fabienne Touzi dit Terzi assistée de Karine Wehner, son: Marc bretonnière, lumières: Pascal Noël, diffusion: Jacot Martin, production : Catherine Monaldi, montage du projet: Aline Duclos

Durée 1h/1h10. Temps d'installation: 45'

Les PAROLES DES CHANSONS

album photo 2006

Echos de la résidence de création à St Varent. Voir : en direct

Quelques echos de la résidence au Fourneau de Brest sont en ligne par ici

A lire sur le site du Fourneau un interview: "Pierre Prévost, ou le theatre au « corps-accords». partie1 & partie2

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